Les Fantômes de l'appartement Francis Carco . Partie 2

Les Fantômes de l'appartement Francis Carco . Partie 2


Dans le doute nous décidions encore une fois de ne pas agir.

Après un long moment de calme d’environ six mois. Nous avons décidé d’entreprendre des petits travaux dans notre appartement pour faire passer la lumière naturelle du salon à la cuisine. Mon Homme fort et viril a fait une petite ouverture dans le mur pour mon plus grand plaisir. Mais il n’aurait pas du .

        Le jour suivant les travaux, nous commencions à voir des ombres. Ces ombres passées devant l’ouverture dans le mur. Lorsque nous étions tous les deux dans le salon devant la télé, elles couraient d’un bout à l’autre de la cuisine et inversement.


Ces choses étaient malfaisantes, à chaque fois qu’on les voyait, l’air de la pièce dans laquelle on se trouvait devenait glacial.

       Encore une fois, nous décidions de ne rien faire, et pourtant il aurait fallu. Depuis que nous habitions là-bas les galères s’enchaîner : Un beau matin notre voiture a pris feu ; nous avons ensuite subi une agression ; Et pour finir, je suis sérieusement tombée malade et ma fille également.

      C’est là qu’on a commencé à agir. Nous avons vu des voyantes, des magiciens, des Marabouts, des médiums et des gourous !
Entre deux rituels, ils tenaient tous le même discours : PARTEZ !



        Après avoir consulté « des spécialistes » les choses ont empiré. Les ombres étaient de plus en plus présentes, plus rapides, plus oppressantes. Une sonnerie sortie de nulle part sonnait tous les matins à 3 h comme dans les films. Sauf que nous ne sommes pas dans un film. J’étais tellement angoissée par cette sonnerie que j’ai frappé à toutes les portes de notre étage à 3 h du matin au bout du 15e jour. Mais rien, ça ne venait de chez personne. Et cette sonnerie atroce c’est arrêtée subitement le 16e jour.

       Notre situation continuée de s’aggraver. Les problèmes de ma fille sont devenus plus graves et nous avons dû la faire hospitaliser à plusieurs reprises. C’était trop, nous étions à bout, et rien n’aller bien, il fallait que tout cela cesse.

       Je vais vous décevoir, mais il n’y a pas de recette miracle pour arrêter la contagion. Personne n’est plus fort que ces forces. Nous avons donc déménagé.

       C’est lorsqu’on a déménagé que tout c’est arrangé. Il n’y avait plus d’ombres et une bonne atmosphère se dégagée de cette nouvelle maison. L’air de la campagne a fait du bien à toute ma famille. Ma fille et moi allions beaucoup mieux.

Ah oui vous attendez une chute à cette histoire ?


       Lorsque nous avons mis le dernier carton dans le camion pour partir au plus loin de cet endroit. Notre voisin est venu nous voir une dernière fois en tant qu’ami sincère et Franc »' pour nous dire qu’avant nous dans cette maison les anciens résidents sont décédés de façon tragique : un Pendu et un Homicide.
On l’a pas tout de suite cru, mais lorsqu’on a vérifié, on s’est rendu compte qu’il avait raison.



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